2 janvier 2012
France Tunisie
Les relations entre la France et le parti Ennahdha lourdement entachées, dans le passé, par l’appui inconditionnel qu’apportaient les présidents français au président déchu, ont, aujourd’hui, tendance à s’améliorer et à se raffermir, lentement mais sûrement. Plusieurs indices l’illustrent de manière éloquente.
D’abord, cette déclaration de M. Rafik Abdessalem, futur ministre des Affaires étrangères. Il a déclaré, lundi 19 courant, à radio Express Fm que «son département est déterminé à tirer un trait sur les anciens malentendus entre la Tunisie et la France» et à améliorer «les relations privilégiées» franco-tunisiennes dans l’intérêt des peuples tunisien et français.
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